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C'est une attente fébrile qui commence aux Etats-Unis pour savoir qui de Donald Trump ou Kamala Harris sera élu, alors que les résultats sont tombés pour une poignée d'Etats, jusqu'ici sans surprise.
Entre nervosité et espoir, les supporters de Donald Trump en Floride attendent mardi soir le résultat "le plus important de l'histoire du pays" autant que leur champion, qui doit venir prononcer un discours devant eux.
C'est une attente fébrile qui commence aux Etats-Unis après la fermeture mardi des premiers bureaux de vote, dans une élection présidentielle à l'issue indécise, tenue dans un climat d'extraordinaire tension.
Dans les sept Etats-pivots qui vont décider du résultat de la présidentielle américaine, des électeurs interrogés mardi par l'AFP se disent terriblement anxieux devant l'avenir de leur pays et complètement divisés face à deux candidats aux visions du monde aux antipodes.
Le ministre israélien de la Défense, Yoav Gallant, limogé mardi, aura été le stratège de la guerre totale contre le Hamas et le Hezbollah avant de devenir trop encombrant pour le Premier ministre Benjamin Netanyahu, en demandant la conscription des ultra-orthodoxes.
Le nouveau ministre israélien de la Défense, Israël Katz, qualifié de "bulldozer" par les médias de son pays en raison de son style direct et parfois abrasif, est un allié de longue date du Premier ministre Benjamin Netanyahu.
Des dizaines de millions d'Américains votent mardi pour décider qui de Kamala Harris ou Donald Trump entrera à la Maison Blanche, une élection sous haute tension et aux enjeux capitaux pour les Etats-Unis et le reste du monde.
Au moins 15 personnes ont été tuées mardi dans une frappe israélienne visant un immeuble d'habitation au sud de Beyrouth, à l'heure où les bombardements israéliens ne connaissent pas de répit a indiqué mardi le ministère de la Santé.
Au moins 15 personnes ont été tuées mardi dans une frappe israélienne visant un immeuble d'habitation au sud de Beyrouth, à l'heure où les bombardements israéliens ne connaissent pas de répit a indiqué mardi le ministère de la Santé.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a limogé mardi son ministre de la Défense, Yoav Gallant, après des divergences sur la conduite de la guerre à Gaza, et l'a remplacé par l'actuel chef de la diplomatie Israël Katz.
Inflation, prix de l'essence et du logement: à l'heure de se rendre aux urnes pour élire le nouveau président des Etats-Unis mardi, les électeurs de Las Vegas, dans l'Etat clé de l'Ouest américain, le Nevada, placent le coût de la vie au centre de toutes leurs conversations.
Journée sous haute tension mardi au Mexique : la Cour suprême examine la possibilité d'invalider une partie de la réforme du pouvoir judiciaire, au risque d'une crise institutionnelle sans précédent avec la présidente Claudia Sheinbaum.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a limogé mardi son ministre de la Défense, Yoav Gallant, après des divergences sur la conduite de la guerre à Gaza, et l'a remplacé par l'actuel chef de la diplomatie Israël Katz.
Le gouvernement bolivien dénonce la prise en "otage" de 200 militaires par des partisans de l'ancien président Evo Morales qui protestent contre la "persécution judiciaire" de leur leader et exigent la démission du président Luis Arce.
Le parquet de la cour d'appel de Nancy a requis mardi, à l'encontre d'un militant écologiste poursuivi pour avoir relayé sur Youtube une chanson visant Gérald Darmanin, 140 heures de travaux d'intérêt général ou six mois d'emprisonnement ferme s'il n'exécute pas un stage de citoyenneté.
Israël, en guerre ouverte contre le Hezbollah libanais, a mené mardi des frappes sur différentes régions du Liban et a visé des dépôts d'armes de la formation pro-iranienne en Syrie.
Ils voulaient "conquérir par les armes" des parties de l'est de l'Allemagne après "l'effondrement" du pays: huit jeunes membres présumés d'un groupe paramilitaire néo-nazi ont été arrêtés lors d'une opération qui s'est étendue jusqu'en Pologne et en Autriche.
Au Pakistan, dernier pays au monde avec l'Afghanistan où la poliomyélite reste endémique, les vaccinateurs doivent convaincre des parents réfractaires malgré la suspicion persistante et les attaques meurtrières.
Journée sous haute tension mardi au Mexique : la Cour suprême s'apprête à invalider en partie la réforme du pouvoir judiciaire promulguée par le pouvoir de gauche, au risque d'une crise institutionnelle sans précédent avec la présidente Claudia Sheinbaum.
L'ensemble des syndicats de France Travail ont dénoncé mardi le projet de budget 2025 qui prévoit la suppression de 500 postes chez l'opérateur public, estimant que "la coupe est pleine", et la majorité des organisations annoncent une grève le 5 décembre.
Cécile Kohler et Jacques Paris, un couple français détenu en Iran depuis 2022 et accusé par les autorités d'"espionnage", sont "en bonne santé", a assuré mardi la justice iranienne, balayant les accusations de mauvais traitement de leurs familles.
Emmanuel Macron a affirmé mardi avoir "des préoccupations communes" sur l'Ukraine avec le président du Kazakhstan Kassym-Jomart Tokaïev, reçu en visite d'Etat à Paris mais aussi allié de Moscou, et a proposé l'aide de la France à Astana dans le développement du nucléaire civil.
Des dizaines de millions d'Américains votent mardi pour décider qui de Kamala Harris ou Donald Trump entrera à la Maison Blanche, une élection sous haute tension et aux enjeux historiques pour les Etats-Unis et le reste du monde.
Le gouvernement espagnol a dévoilé mardi un plan d'aide de 10,6 milliards d'euros pour les dizaines de milliers d'habitants et entreprises sinistrés du sud-est du pays, une semaine après les dramatiques inondations qui ont fait au moins 219 morts.
La ministre de l'Agriculture Annie Genevard a annoncé mardi à Fabrezan (Aude) l'intention du gouvernement de proposer deux outils de soutien à la trésorerie des agriculteurs les plus en difficulté, répondant ainsi à une demande forte de l'alliance syndicale majoritaire FNSEA/Jeunes Agriculteurs (JA).
Ce sera, forcément, un résultat historique: l'Amérique décide mardi qui de Kamala Harris ou de Donald Trump entrera à la Maison Blanche, au terme d'une campagne d'une tension inouïe, indécise jusqu'à la dernière minute.
Ce sera, forcément, un résultat historique: l'Amérique décide mardi qui de Kamala Harris ou de Donald Trump entrera à la Maison Blanche, au terme d'une campagne d'une tension inouïe, indécise jusqu'à la dernière minute.
Qu'ils soient fans de Donald Trump ou supporteurs de Kamala Harris, ils sont tout aussi fébriles à la perspective d'une victoire qui semble pour chaque camp à portée de main, au terme d'une campagne présidentielle américaine à nulle autre pareille.
Journée sous haute tension mardi en Amérique du Nord: en plus des élections américaines à l'issue incertaine, le Mexique, premier partenaire des Etats-Unis, vit à l'heure d'un bras de fer sans précédent entre la Cour suprême et la présidente de gauche.
Barrières en béton, haute clôture grillagée, agents armés à l'intérieur : à la veille de la présidentielle américaine, le centre électoral de Phoenix, en Arizona, ressemble à une forteresse.
La Corée du Nord a tiré tôt mardi une salve de missiles balistiques à courte portée, a annoncé l'armée sud-coréenne, son deuxième lancement en cinq jours, survenant à quelques heures de l'élection présidentielle américaine.
"Si elle ne gagne pas, on est foutu": comme Robin Matthews, beaucoup d'électeurs démocrates faisant la queue pour le dernier meeting de Kamala Harris, lundi à Philadelphie, craignent le retour d'un Donald Trump "sans contrôle" à la Maison Blanche et espèrent la fin des divisions.