Zürcher Nachrichten - Ligue 1: l'OM et De Zerbi, le gros coup de chaud

EUR -
AED 3.769696
AFN 71.3314
ALL 97.423975
AMD 406.99721
ANG 1.849834
AOA 935.998693
ARS 1058.863803
AUD 1.655159
AWG 1.849932
AZN 1.742651
BAM 1.942879
BBD 2.072437
BDT 124.711813
BGN 1.957741
BHD 0.386898
BIF 2979.390832
BMD 1.026314
BND 1.401109
BOB 7.092897
BRL 6.332564
BSD 1.026384
BTN 88.048147
BWP 14.275339
BYN 3.359026
BYR 20115.763107
BZD 2.061709
CAD 1.478216
CDF 2943.988816
CHF 0.936411
CLF 0.03735
CLP 1030.594623
CNY 7.491478
CNH 7.537418
COP 4503.00594
CRC 523.225362
CUC 1.026314
CUP 27.197333
CVE 110.687962
CZK 25.149223
DJF 182.396896
DKK 7.459002
DOP 62.693664
DZD 139.899243
EGP 52.120455
ERN 15.394717
ETB 130.967272
FJD 2.390748
FKP 0.812823
GBP 0.829568
GEL 2.883746
GGP 0.812823
GHS 15.082838
GIP 0.812823
GMD 73.894291
GNF 8873.075621
GTQ 7.918492
GYD 214.743927
HKD 7.981729
HNL 26.078816
HRK 7.361657
HTG 134.069669
HUF 413.762261
IDR 16673.504461
ILS 3.754362
IMP 0.812823
INR 88.075638
IQD 1344.583979
IRR 43195.006116
ISK 143.694133
JEP 0.812823
JMD 159.717789
JOD 0.728066
JPY 161.78204
KES 132.661187
KGS 89.289543
KHR 4140.543793
KMF 478.390857
KPW 923.682426
KRW 1513.110793
KWD 0.316616
KYD 0.855328
KZT 538.697861
LAK 22394.283891
LBP 91918.586441
LKR 300.941506
LRD 189.372414
LSL 19.212315
LTL 3.030439
LVL 0.620807
LYD 5.044452
MAD 10.385234
MDL 18.927491
MGA 4860.720892
MKD 61.534667
MMK 3333.429281
MNT 3487.416348
MOP 8.222397
MRU 40.933171
MUR 48.185319
MVR 15.807987
MWK 1779.78082
MXN 21.173975
MYR 4.596346
MZN 65.58532
NAD 19.212501
NGN 1586.763922
NIO 37.769548
NOK 11.682575
NPR 140.876837
NZD 1.834523
OMR 0.395128
PAB 1.026384
PEN 3.855434
PGK 4.171299
PHP 59.540092
PKR 286.008771
PLN 4.272086
PYG 8006.828202
QAR 3.742348
RON 4.97403
RSD 116.996764
RUB 113.909806
RWF 1414.222203
SAR 3.854468
SBD 8.604164
SCR 15.353522
SDG 617.326055
SEK 11.446777
SGD 1.40621
SHP 0.812823
SLE 23.392887
SLL 21521.303846
SOS 586.610151
SRD 36.002999
STD 21242.636875
SVC 8.981357
SYP 2578.64608
SZL 19.208626
THB 35.330929
TJS 11.187903
TMT 3.602364
TND 3.294355
TOP 2.403732
TRY 36.268126
TTD 6.975676
TWD 33.791201
TZS 2499.07569
UAH 43.228428
UGX 3774.93141
USD 1.026314
UYU 45.249507
UZS 13246.035639
VES 53.329113
VND 26127.399964
VUV 121.846106
WST 2.835489
XAF 651.635961
XAG 0.034719
XAU 0.000386
XCD 2.773666
XDR 0.787081
XOF 651.629653
XPF 119.331742
YER 256.963449
ZAR 19.222685
ZMK 9238.070371
ZMW 28.559343
ZWL 330.472832
  • AEX

    8.5200

    887.17

    +0.97%

  • BEL20

    25.1600

    4289.52

    +0.59%

  • PX1

    13.2800

    7393.76

    +0.18%

  • ISEQ

    -11.7100

    9745.11

    -0.12%

  • OSEBX

    33.0600

    1458.15

    +2.32%

  • PSI20

    35.7100

    6412.28

    +0.56%

  • ENTEC

    -5.8300

    1416.23

    -0.41%

  • BIOTK

    58.3900

    3099.36

    +1.92%

  • N150

    28.8400

    3306.44

    +0.88%

Ligue 1: l'OM et De Zerbi, le gros coup de chaud
Ligue 1: l'OM et De Zerbi, le gros coup de chaud / Photo: Christophe SIMON - AFP

Ligue 1: l'OM et De Zerbi, le gros coup de chaud

Sur le podium, mais déjà au bord de la crise de nerfs: de nouveau sèchement battu à domicile vendredi, cette fois par le promu Auxerre, l'OM traverse une période compliquée et son entraîneur Roberto De Zerbi, furibond, s'est même dit prêt à quitter le club.

Taille du texte:

Avec trois ou quatre questions, de longs monologues enragés en guise de réponses, des journalistes qui échangent des regards interdits et quelques membres du club qui déambulent au fond de la salle en fixant le bout de leurs chaussures, la conférence de presse de De Zerbi vendredi soir restera à coup sûr comme l'un des moments forts de la saison marseillaise.

"Je viens de la rue, je suis direct, je ne parle pas pour parler. Je l'ai dit à Medhi Benatia (conseiller sportif, NDLR) et à Pablo Longoria (président de l'OM): si je suis le problème, je suis prêt à partir. Je laisse l'argent et je rends mon contrat", a lâché l'Italien, plein de colère et de frustration.

"Je ne vis pas pour la 2e place, pour le classement ou même pour la victoire. Je n'en ai rien à foutre. Jouer au Vélodrome est un privilège", a ajouté le coach marseillais, dont l'équipe, effectivement toujours 2e (en attendant les résultats de Monaco et de Lille), n'a pris que cinq points en cinq matches à domicile, un succès contre Nice, deux nuls face à Reims et Angers et deux raclées infligées par le PSG (3-0) et Auxerre (3-1).

- "Ca me rend fou" -

"Je suis venu à Marseille pour le Vélodrome, pour jouer au Vélodrome. Et je ne réussis pas à faire en sorte que les joueurs donnent ici ce que je vois à l'entraînement et à l'extérieur. Donc c'est de ma faute, c'est ma responsabilité", a poursuivi De Zerbi. "J'ai du mal à comprendre ça, ça me rend fou", a-t-il encore lancé, avant de répéter: "Si je suis le problème, je m'en vais".

Dans la foulée, un porte-parole du club s'est efforcé de contenir le départ d'incendie en décrivant un De Zerbi "entier, venu à l'OM pour le Vélodrome et terriblement frustré de ne pas réussir à y gagner".

Mais le technicien italien, tête de gondole du "projet sur trois ans" présenté par la direction du club à l'opinion publique et au propriétaire Frank McCourt (présent au stade vendredi), peut-il vraiment partir?

"Il est le bon coach. Ce sont les joueurs qui doivent donner les réponses. On a zéro doute sur le coach", a répondu vendredi soir à l'AFP un membre de la direction.

"Ca ne vient pas de lui, c'est nous, les joueurs, qui devons prendre nos responsabilités. Lui fait les efforts, donne son cœur, nous on doit mettre plus pour tourner la page", a de son côté assuré le capitaine Leonardo Balerdi.

- Symptômes récurrents -

De fait, alors que l'OM finira le week-end au pire à la quatrième place, et même si le club a montré par le passé qu'il savait créer des crises à partir de rien, un départ de De Zerbi trois mois à peine après son arrivée est très improbable.

La saison dernière, marquée par une succession de secousses et par l'impuissance et la résignation de trois coachs (Marcelino, Gennaro Gattuso et Jean-Louis Gasset), fait figure de contre-exemple absolu et la direction du club peut difficilement se permettre un nouveau chamboule-tout.

Mais certains symptômes récurrents posent tout de même question. Gattuso lui aussi disait "ne pas comprendre" et "ne pas y arriver" et Gasset voyait également dans son vestiaire de "braves garçons" qui se transformaient en trop gentils garçons les soirs de matches.

Surtout, comme Andre Villas-Boas ou Jorge Sampaoli avant lui, De Zerbi a buté vendredi sur un des schémas les plus classiques de la L1: bloc bas et transitions rapides. Le Portugais et l'Argentin avaient fini par trouver des solutions. Comme sa direction n'a pas l'intention de le laisser filer, l'Italien va devoir trouver les siennes.

T.L.Marti--NZN